Je vous remercie de ce témoignage, monsieur Minot, puisque vous avez connu cette filière professionnelle. Votre question a trait à l'éthique et à la dignité. Face à une crise d'une telle ampleur, le premier réflexe consiste à protéger. C'est dans un deuxième temps, après avoir recueilli les retours de l'expérience, qu'il faut trouver la ligne de crête entre la nécessaire protection sanitaire et le respect de la vie sociale des personnes, qui désirent rencontrer leurs proches.
À Crépy-en-Valois, une commune que vous connaissez bien et qui a connu une situation très difficile…