Dans la continuité de tout ce qui vient d'être dit, je veux souligner que l'usage excessif de l'état d'urgence a privé notre assemblée de débats et que, sans ces débats, les députés que nous sommes n'avons pu travailler aux côtés du Gouvernement et faire entendre nos propositions. Ne renversez donc pas l'argument, monsieur le ministre !
Prenons le cas des stations de sports d'hiver, qui alimentent toute une économie dans nos territoires et représentent des centaines de milliers d'emplois et près de 10 % de notre produit intérieur brut. Pas une seule fois notre hémicycle n'a été amené à débattre du bien-fondé de la décision de les fermer !