Nous avons été obligés de saisir le Conseil d'État pour que les acteurs et les élus de la montagne aient, à tout le moins, la possibilité de se faire entendre, d'expliquer leurs spécificités et les difficultés auxquelles ils sont confrontés, mais aussi de tenter de comprendre les raisons factuelles, d'ordre sanitaire, pour lesquelles le Gouvernement a décidé de ne pas autoriser la réouverture des stations de ski.
Pas une seule fois nous n'avons eu la possibilité de débattre de cette question dans l'hémicycle – pas même une soirée, pas même une heure ! C'est absolument incompréhensible.