Voilà donc un état d'urgence sanitaire qui dure depuis déjà longtemps et qui va continuer. Pourtant, les restrictions de nos libertés de nous réunir, de manifester, même de travailler, sont considérables, voire exorbitantes, et les quelques aménagements que nous vous avons proposés s'agissant des mesures les plus restrictives, telles que le confinement ou le couvre-feu – nous vous avons demandé de revenir devant le Parlement pour obtenir son accord – , vous les avez refusés.