Je répondrai sur trois points.
Tout d'abord, au sujet de la cible, Les Échos ont publié ce matin une interview du Premier ministre, que je cite : « Nous visons un déficit de 2,7 % l'an prochain, mais je ne suis pas un fétichiste du chiffre. Mon objectif politique est d'être en dessous de 3 %. » Ce doit être l'un des rares points de convergence entre nous.