Madame la secrétaire d'État, vous avez supprimé de facto l'intermédiation effectuée par les associations de gestion agréées pour les petites entreprises, sous prétexte qu'un tel système était compliqué sans vraiment relever du contrôle, alors que ces associations le faisaient depuis longtemps et plutôt bien. Dans la même loi relative à la croissance et la transformation des entreprises, dite loi PACTE, vous avez supprimé, pour d'autres entreprises, la nécessité de faire appel à des commissaires aux comptes, sous prétexte de simplifier et de diminuer les coûts pour les professionnels. Or ici, vous prévoyez l'intervention d'associations chargées du contrôle, ce qui va coûter plus cher aux professionnels, alors que l'on aurait pu l'éviter. Pourquoi une telle incohérence ?