La détresse de nos compatriotes guadeloupéens est bien trop immense pour que nous ne tentions d'arranger leur sort qu'à moitié. Pour finir, je citerai une habitante de la Guadeloupe : « le Président de la République pense que nous sommes mous. Nous sommes juste habitués à souffrir ; nos enfants, eux, se révoltent. Donnez-nous de l'eau ; sinon, la Guadeloupe partira en flammes. »