On nous raconte que ces projets vont se réaliser, alors qu'on ne dispose pas de financement, qu'on va transférer des animaux qui sont actuellement bien traités pour les placer dans une hypothétique captivité secondaire. Pourtant, la réalité c'est que l'accord Pélagos ne reviendra jamais sur l'impossibilité de mettre en détention en Méditerranée des animaux qui ne sont pas sauvages.