J'ai fait le compte : depuis onze mois que je suis ministre, sans compter ma présence pendant l'examen des textes de loi ou aux séances de questions au Gouvernement, ni les autres dispositifs parlementaires, j'ai répondu à vingt-trois convocations du Sénat et de l'Assemblée nationale pour répondre spécifiquement à leurs questions sur la gestion de la crise actuelle.