Le poète résistant René Char écrivait : « Dans nos ténèbres, il n'y a pas une place pour la beauté. Toute la place est pour la beauté. » Avec ces lois successives sur l'état d'urgence qui n'en finit pas, nous avons l'impression que plutôt que de vouloir rallumer une lumière, vous ne cessez de chercher à prolonger la nuit.