C'est votre famille politique que j'ai toujours combattue. Alors croyez-moi, jamais je n'ai eu peur d'un scrutin et je n'attends qu'une chose, c'est d'aller au combat. J'aurais pu « très courageusement », lorsque mon suppléant n'a pas voulu siéger – et ce n'était pas de mon fait, croyez-moi – , ne pas me représenter. Or ce n'est pas ce que je fais : j'y vais et je n'ai pas peur d'y aller. Je n'attends qu'une chose : le feu vert pour en découdre avec vous.