Au constat de ce séparatisme, il est fort probable que les élèves qui intégreront les filières les plus sélectives de notre enseignement supérieur n'aient eu que très rarement l'occasion de rencontrer, au cours de leur enfance et de leur adolescence, les 20 % ou 30 % les plus faibles. Dans ces conditions, comment prétendre faire société et garantir l'égalité des chances républicaines ?
Le 10/02/2021 à 10:37, Laïc1 a dit :
Des mauvais élèves, il y en a dans toutes les classes, dans toutes les familles.
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