À l'instar des médecins décrits par Molière, vous évoquez à la tribune de nombreux remèdes, mais, lorsqu'il est question de les prescrire, vous dites que ce n'est pas possible car ce serait liberticide. Vous nous avez fait le coup en commission, où Mme Le Pen s'est révélée la plus grande protectrice de la liberté d'association ; elle fait exactement le contraire de ce qu'elle dit vouloir faire. En réalité, vous vivez des problèmes et ne souhaitez pas les résoudre.