Ni La Princesse de Clèves, si on veut faire référence à Sarkozy – je vois que vous connaissez vos classiques ! – , j'en conviens bien volontiers : je dois bien assumer l'intégralité des difficultés du Gouvernement puisque c'est moi qui signe ce projet de loi sous l'autorité de M. le Premier ministre. Il est vrai aussi qu'il n'est pas aisé de converser à un moment aussi tardif mais M. de Rugy a bien démontré qu'il fallait donner un avis défavorable.
Vous aurez compris, monsieur le président, que l'avis du Gouvernement est très défavorable aux amendements nos 2306 et 2307 , en dépit de la longueur de démonstrations qui me semblent éloignées de notre droit, et défavorable au no 2468 qui, même si je peux en partager le principe, vient inutilement alourdir le propos.