Je vous prie par avance de m'excuser de ce que je vais dire, monsieur le député : ce qui m'importe à cet instant, ce sont ceux qui nous regardent car ils ne sont pas forcément tous des juristes. Et je ne veux pas, parce que c'est contraire à la vérité, qu'ils puissent penser que la position défavorable du Gouvernement et de Mme la rapporteure à vos amendements signifie que nous acceptons qu'un étranger condamné dans notre pays pour faits de terrorisme puisse continuer à y vivre.