Dans le cas d'espèce, il faudrait ne pas laisser le choix à l'employeur, de sorte que l'employé, qui peut avoir de bonnes raisons d'être craintif, soit protégé. Il lui suffirait de faire rapport à l'autorité dont il dépend de ce qui lui est arrivé ; il incomberait ensuite à l'autorité en question, chargée de défendre les principes de la République, de signaler ces menaces au procureur, lequel juge à son tour de l'opportunité d'engager des poursuites. Un tel équilibre me semble plus satisfaisant.