Cette solution, en pratique, apportera beaucoup, car elle obligera à un échange, à un dialogue entre la hiérarchie administrative et l'agent victime. Or, c'est précisément parce que ce dialogue n'est aujourd'hui pas suffisant dans certaines situations concrètes que, parfois, l'administration s'aveugle et refuse d'intervenir. Le sous-amendement que nous vous proposons permettrait donc à la fois de tenir compte des opinions émises sur chacun des bancs, et de trouver l'équilibre nécessaire pour rendre efficace un article dont je pense que nous soutenons tous l'objectif.