Dans la lignée des propos de Mme la rapporteure, j'ajoute qu'il ne s'agit évidemment pas de léser qui que ce soit. Dans le cas de figure que vous évoquez, si quelqu'un investissait dans un bien en France, personne ne viendrait le lui confisquer. Il s'agit au contraire d'éviter que dans l'héritage, l'un des enfants soit lésé – singulièrement, la fille.
Vous dites que des gens, connaissant cette loi et le fait que la France défend l'égalité entre les filles et les garçons devant l'héritage…