Sur tous les bancs de l'Assemblée, on devrait s'attacher à définir un avenir positif pour la sortie de crise. C'est ce que nous faisons dans le domaine universitaire ; c'est ce que nous faisons en matière d'emploi, en prenant des mesures qui permettent l'embauche de jeunes dans des proportions qui n'étaient pas atteintes auparavant ; c'est ce que nous devons faire en bâtissant la société du futur dans un discours qui devrait unir la classe politique. Ne cherchons pas la polémique – ce n'est d'ailleurs pas ce que vous avez fait – et asseyons-nous autour de la table pour voir ce que nous pouvons proposer pour l'avenir des jeunes.