Je serai un petit peu plus critique que mon collègue Guillaume Larrivé, même si je ne sais pas si le pied gauche qui a rédigé la proposition de loi relative à la sécurité globale est présent dans l'hémicycle.
La rédaction de l'article 18 soulève à mon sens deux questions principales.
Premièrement, il évoque des informations permettant d'« identifier » ou de « localiser » une personne. On voit bien l'effort qui a été fourni pour contourner l'ornière où nous nous étions embourbés à l'occasion de cette fameuse loi relative à la sécurité globale.