Je salue le progrès permis par le texte, mais je me pose la question suivante : quelles seraient les données personnelles dont nous souhaiterions la diffusion sur les réseaux sociaux ? Je propose donc une autre rédaction précisant qu'il est possible de diffuser des informations personnelles sur une personne à la condition d'avoir recueilli son consentement. Par cohérence, l'amendement supprime les mots « que l'auteur ne pouvait ignorer ». Il s'agit donc de poser un principe simple qui pourrait être compris de toutes et de tous.