Je l'ai dit tout à l'heure, ce texte est très clair. Le droit d'informer ne se confond pas avec le fait de nuire.
On m'a demandé, à la droite de l'hémicycle, pourquoi je me concentre sur la question de la presse, qui n'est pas seule en cause : M. Vallaud m'avait interpellé en évoquant notamment ce sujet ; je lui ai donc répondu, notamment, à ce sujet.
Monsieur Coquerel, vous ne démordez pas de l'idée que ce texte permettrait à la police d'abuser de son pouvoir. Voilà votre parti pris, votre posture permanente.