L'intervention de M. Jumel vise à brider l'expression parlementaire. J'ai tout de même le droit de donner mon avis sur la manière dont le syndicalisme doit fonctionner en France et de ne pas être d'accord avec le groupe GDR. C'est mon droit de considérer que le syndicalisme doit être de service. J'estime que cette attaque personnelle à mon endroit – car c'en est une – n'a pas sa place dans cet hémicycle. On a le droit d'avoir une opinion différente de la vôtre, monsieur le député, et d'exprimer ses convictions sans avoir à subir une réprimande.