J'ai entendu dire que le contrôle serait attentatoire aux libertés. C'est un sujet dont on pourrait parler entre juristes ; c'est aussi un sujet dont on peut parler, monsieur Aubert, dans l'hémicycle. Dans quelle mesure le fait de vouloir mettre en place des contrôles pour garantir la liberté fondamentale d'apprendre serait-il attentatoire à la liberté ? Quel contresens à la fois intellectuel et politique !