J'en ai souvent parlé, et vous avez souvent répondu que l'idée était bonne, mais le moment mal choisi. Il semble enfin que ce soit le bon ; j'en prends acte et je vous remercie.
Je ne vous cache pas que j'aurais préféré la formulation faisant référence au « français maîtrisé » ; c'est pourquoi – n'en prenez pas ombrage ! – je maintiendrai mon amendement pour le soumettre au vote. Néanmoins, le second amendement qui sera, je n'en doute pas, adopté avec votre sous-amendement vaut mieux que rien.
S'agissant des langues régionales et de l'enseignement bilingue, qui peut le plus peut le moins ! Un français maîtrisé assure d'autant mieux la maîtrise d'une langue régionale ou étrangère. Je ne vois pas en quoi l'un serait exclusif de l'autre.
Restons-en là puisque le temps nous est compté, mais je tenais à faire cette remarque.