Pourquoi reculer, pourquoi attendre, monsieur le ministre ? Soit c'est urgent, soit ça ne l'est pas. J'ai bien compris qu'il s'agissait d'une question de moyens, et que vous alliez en déployer de nouveaux – nous verrons bien. Mais je pourrais aussi comprendre que vous agissez sous la pression des parents qui pratiquent aujourd'hui l'instruction en famille.
Il est dommage d'attendre : nous avions la possibilité de connaître assez vite et précisément les motivations des parents et les besoins des enfants. Mieux connaître ces besoins, c'est sans doute à terme pouvoir leur proposer ce qu'ils ne trouvent pas aujourd'hui à l'école. Ces données seraient très précieuses.