Il serait possible de demander des informations comptables et financières uniquement en cas de suspicion de financements étrangers. Cela restreindrait donc les possibilités de contrôle.
En pratique, c'est lorsqu'il y aura des soupçons que l'État demandera à un établissement de fournir des documents budgétaires, comptables et financiers. De plus, il faut conserver la possibilité de contrôler les ressources d'un établissement, même en l'absence de suspicion de financements étrangers : cela permet de prendre en compte, par exemple, le cas de financements qui proviendraient d'organisations hostiles aux principes de la République présentes sur le territoire. C'est un avis défavorable.