Ce rappel, monsieur le président, est fondé sur l'alinéa 1er de l'article 58 de notre règlement.
Mes chers collègues, cessons les attaques ad hominem. Nous pouvons nous adresser les uns aux autres de manière courtoise. Alors que nous examinons ce texte depuis de nombreuses heures, depuis cinq minutes, nous entendons surgir des attaques d'un côté ou de l'autre. Je lance un appel au calme. Nous n'avons pas les mêmes idées : c'est un fait. Que nous essayions de nous convaincre est la grandeur du Parlement. Mais cessons, de grâce, les attaques ad hominem !