C'est une question essentielle et je remercie MM. Jean-Paul Lecoq et Jean François Mbaye de l'avoir posée en ces termes. Je rejoins les propos tenus par M. le rapporteur, qui peuvent être largement partagés. La question est d'actualité : j'ai pu me rendre compte moi-même physiquement, au Niger, du côté très concret de la nécessité de préserver l'espace humanitaire et la capacité des travailleurs humanitaires à intervenir. Cette nécessité est parfois rappelée par des drames – ce fut en l'occurrence le cas. Pour toutes ces raisons, je vous remercie de l'attention que vous portez à ce sujet et j'adhère à l'avis du rapporteur.