Deux éléments ressortent clairement du débat : une assez vive satisfaction à l'égard des montants – 8 milliards, 14 milliards – annoncés en matière d'APD, ainsi qu'une frustration face au calendrier. Je voudrais préciser que les retards de calendrier ne sont pas dus à une quelconque malveillance. D'une part, nous avons eu des discussions très approfondies avec le Sénat : coconstruire cette loi de programmation a pris du temps. D'autre part, nous avons dû faire face à la pandémie. Néanmoins, face à la frustration, il me semble que l'amendement de M. Herbillon…