Il vise à souligner la nécessité de fixer l'objectif de 0,7 % à une échéance déterminée, celle de 2025, celui de 0,55 % n'étant qu'un objectif intermédiaire. Il faut absolument respecter la résolution des Nations unies, sachant qu'au cours des cinquante dernières années, le manque à gagner pour les pays les plus vulnérables a été de près de 200 milliards.