Je vous le dis amicalement monsieur Lecoq : je n'éprouve ni jubilation, ni jouissance. Je suis simplement un ministre attentif et à l'écoute du Parlement. Cela donne peut-être une impression de jouissance, mais je pense qu'il s'agit plutôt d'une bonne articulation entre l'action parlementaire et celle du Gouvernement.
Par ailleurs, si j'ai répondu favorablement, à la surprise du rapporteur, à l'amendement de Mme Poletti, c'était bien parce que je savais ce que j'allais dire sur l'objectif d'une aide publique au développement équivalant à 0,7 % du RNB : l'un ne va pas sans l'autre.