Voilà ce que nous contestons. Nous devrions pouvoir remettre en cause des engagements multilatéraux chaque fois que nous souhaitons diriger notre action vers un autre front. J'estime qu'il nous faut progresser dans ce domaine.
Nous souhaiterions d'ailleurs savoir comment notre politique d'aide au développement s'est répartie entre ses deux composantes au cours des deux dernières années. De plus, nous nous demandons si la France est correctement placée pour être influente au sein des différents organismes multilatéraux.
Pour ces différentes raisons, j'estime que nous devons préserver les crédits de l'aide bilatérale.