Votre amendement a été adopté, monsieur le rapporteur, c'est très bien ; je voudrais le préciser, en indiquant un pourcentage de notre aide fléché vers les soixante-dix pays les moins avancés. Cette proposition me paraît, monsieur le ministre, tout à fait en phase avec la politique que vous affichez, prioritairement africaine, prioritairement bilatérale.
Encore une fois, à des considérations quelque peu littéraires, je préfère des objectifs quantifiables – l'ancien professeur de lettres qui préside notre commission me le pardonnera.