Éric Poulliat et moi-même avons repris dans notre rapport d'information sur les services publics et la radicalisation sa proposition visant à engager la réflexion sur un rapprochement du statut, de la rémunération et de la couverture sociale des aumôniers pénitentiaires avec ceux applicables aux aumôniers militaires. Je ne vais pas parler au nom de Bruno Questel, mais il a sollicité ce rapport auprès du garde des sceaux ; il en était très demandeur. Si nous n'en adoptons pas le principe aujourd'hui, je crains que tout cela finisse par un enterrement de première classe.