Outre que vous vous êtes limités aux cas de crise avec ces dispositions, celles-ci concernent, si je peux me permettre de le rappeler, tous les députés.
Je suis élu dans un département situé à 800 kilomètres de Paris, où il n'y avait ni train ni avion entre les mois de mars et de mai. Jusqu'au mois de juin, j'ai donc dû aller en voiture jusqu'à Bordeaux, afin de prendre un train pour Paris, du moins quand il y en avait. C'est l'occasion pour moi de mettre en exergue la faillite de ces deux sociétés françaises que sont la SNCF et Air France.
M. Zumkeller traite d'un vrai problème ; je souhaite que nous travaillions ces questions, et je me félicite de votre réponse, monsieur le rapporteur. S'il faut favoriser la présence à l'Assemblée, lorsque celle-ci est impossible, il faut trouver des solutions.