Il vise à ce que la présidence du comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques soit systématiquement confiée à un membre d'un groupe d'opposition. Un peu de la même manière, nous avions prévu que la présidence de la commission des finances serait désormais confiée à un membre du principal groupe d'opposition. Ce fut, je le rappelle, l'une des grandes évolutions voulues par le président Sarkozy, d'ailleurs appliquée avant même qu'elle ne soit inscrite dans le règlement.
La mesure que nous proposons serait concrète et efficace. Si vous lui réserviez une suite favorable, monsieur le rapporteur, vous montreriez combien vous reconnaissez la vie parlementaire dans sa diversité.