Monsieur le ministre des outre-mer, je vous ai transmis un courrier auquel vous n'avez pas jugé utile de répondre ; c'est pourquoi je vous interpelle ici.
La crise sanitaire est un drame sans précédent, qui bouleverse nos vies et nos habitudes. Mais votre politique et vos façons de faire les bouleversent davantage encore.
Je veux ici aborder la question des « motifs impérieux » demandés pour voyager des outre-mer vers l'hexagone, et vice versa. Permettez-moi de vous dire que c'est le grand foutoir ! Cette anarchie engendre atteintes aux libertés et souffrances humaines. Et les gens n'ont plus le temps de se préoccuper des vrais problèmes : le chômage, la cherté de la vie, le sous-développement et votre politique de casse sociale.