C'est un amendement très révélateur et que je combats avec force. Je trouve dommage que l'avis défavorable tant du ministre que du rapporteur s'appuie sur des motifs anecdotiques de terminologie alors que le sujet n'est pas là. Il est que l'écologie ne peut pas faire de l'homme le bouc émissaire des problèmes que nous connaissons aujourd'hui, même si, c'est vrai, les années 1960 et 1970 ont été le théâtre d'excès, voire de pillages des ressources naturelles : l'homme s'est cru peut-être trop puissant par rapport à ce qu'il pouvait faire.