Vous avez raison, monsieur le président, mais je souhaite tout de même réagir. D'abord, il ne s'agit pas d'une de mes marottes. Vous pouvez penser que la montée de l'islamisme n'est pas un sujet de préoccupation, monsieur le ministre, mais, en ce cas, je ne suis pas certain que vous rendiez service à votre charge parce qu'il y a beaucoup de Français qui attendent du ministre de la justice, garde des sceaux, une réponse ferme.