Deuxième élément : au-delà de la cohérence, nous avons dit que nous voulions reprendre sans filtre les propositions des membres de la convention citoyenne, – qui ont d'ailleurs été tirés au sort dans des conditions que tout le monde connaissait – et respecter leurs convictions, même lorsqu'elles étaient réservées voire hostiles en matière d'environnement. Ce procès fait au peuple – ou au « faux peuple », pour reprendre les termes du ministre – , est donc assez vilain.
Dernier élément : je constate que lors de la crise des gilets jaunes, ceux qui siègent sur les bancs de la droite étaient beaucoup moins à l'aise avec ce qu'ils appellent désormais le vrai peuple, …