Pardonnez-moi, vous direz que je suis opiniâtre, mais je persiste et je signe. Vous n'êtes pas favorable à la proportionnelle : je l'entends ; vous vous en expliquez : c'est tout à fait votre droit et je le respecte. D'autres y sont favorables et viendront l'exprimer dans un instant au travers d'autres amendements. Imaginez, monsieur Aubert, que, pour vous complaire, nous ouvrions ce débat. Nous en aurions pour des dizaines d'heures, rien que sur ce sujet ! C'est un sujet sérieux et essentiel, on ne peut pas en débattre…