Et alors ? Madame Ménard, je vous entends dire : « Et alors ? ». Nous abordons ici une réforme constitutionnelle ayant trait à la préservation de l'environnement. On m'a rappelé tout à l'heure qu'il n'y a aucun sujet interdit, qu'aucun amendement n'avait été considéré comme cavalier et donc déclaré non recevable à ce titre. Il est donc normal que vous puissiez en profiter. Mais je répète que de tels sujets sont trop sérieux pour ne pas faire l'objet d'un débat autonome, comportant une seule question : « Pour ou contre ? ». Ici, on parle d'environnement, je le répète une fois encore et le ferai jusqu'à épuisement.