Mes chers collègues, je vais évidemment donner la parole à ceux qui l'ont demandée, mais je signale la présence de députés qui, comme M. Brotherson, habitent loin et voudraient présenter leurs amendements. En étant taquin, je dirais que, tant qu'il reste encore des avions, laissons les députés rentrer dans leur circonscription – je me sens concerné.
Depuis neuf heures du matin, les auteurs d'amendement ont systématiquement repris la parole après les avis de la commission et du Gouvernement. Il me semble que chacun a bien compris les positions des uns et des autres. Dès lors, permettons à M. Brotherson de présenter ses amendements comme il m'en a fait la demande. Vous êtes dans la même situation que moi, monsieur Ciotti : nous n'avons pas de train mais un avion.
La parole est à M. Julien Aubert.