Cher collègue Mendes, vous me prêtez des intentions que je n'ai nullement. Je tiens à le préciser, il n'a jamais été question d'interdire des relations aux enfants et aux personnes handicapés ! Notre amendement vise simplement à rappeler que ces personnes sont particulièrement vulnérables. Je suis disposée à le retirer, si sa rédaction ne convient pas, mais je voulais absolument qu'on parle de ce sujet : cela fait trop longtemps qu'on le passe sous silence.