Madame la ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, il y a un an, la France était confinée, toute activité paralysée, chacun renvoyé chez soi. La crise sanitaire a entraîné des conséquences non seulement économiques, mais aussi sociales, c'est indéniable. Les plus précaires le sont devenus encore plus, et certains, qui ne l'étaient pas, le sont devenus.
De nombreux jeunes sont désormais confrontés à la précarité. Si la jeunesse est peu exposée au risque de la maladie, elle l'est aux risques de la précarité, du décrochage, de la violence, des situations de détresse, celle-ci étant psychologique, économique, parfois alimentaire.