Dans l'esprit, cet amendement est louable, mais qu'en est-il en pratique ? Ce qui compte en sport, c'est quand même de pratiquer – ce n'est pas à vous que je vais l'apprendre, madame la ministre déléguée. C'est une vraie question dans le contexte actuel qui interdit la pratique du sport à de nombreuses personnes, y compris à des intervenants – notamment en tennis – qui ont le plus grand mal à accompagner de futurs sportifs de très haut niveau. Le couvre-feu à dix-huit heures tue le sport !