Même avis. Néanmoins, je souhaite rassurer Fabienne Colboc : nous transmettrons cette suggestion aux recteurs et aux chefs d'établissement, pour qu'ils prennent en considération le nécessaire développement de la pratique sportive féminine, ainsi que de celle des personnes en situation de handicap. Lorsque c'est possible, nous souhaitons qu'ils favorisent la pratique féminine, mais sans que cela figure dans la loi.