Je vous prie de m'excuser si je n'ai pas été suffisamment claire.
Il existe déjà un coupon sport, qui n'est pas suffisamment utilisé par les entreprises, parce qu'il n'a pas été imaginé – je ne sais pas qui l'avait instauré à l'époque – au niveau interministériel. Sans lien avec Bercy et l'Urssaf, il n'a pas bénéficié d'un avantage fiscal et ne s'est pas révélé aussi attractif que les tickets-restaurants ou les chèques-vacances. Aujourd'hui, nous voulons aboutir à un dispositif efficace qui ne servira pas un but mercantile, monsieur Larive, mais dont les moyens supplémentaires profiteront aux fédérations et aux associations sportives qui pourront intervenir auprès des salariés en milieu professionnel.
De ce point de vue, madame Petit et madame Amadou, je trouve vos propositions très intéressantes. Elles montrent votre volonté de faire de ce dispositif une mesure de relance pour l'écosystème associatif et nous y sommes évidemment favorables. Je vous l'ai dit, nous y travaillons depuis le mois de juillet dernier et je retiens la proposition de Mme la rapporteure : il faut « mettre la gomme » afin que nous puissions aboutir d'ici l'examen au Sénat.
C'est la raison pour laquelle je proposais – excusez-moi si mes propos n'ont pas été suffisamment clairs – que le Gouvernement missionne sur cette question les parlementaires les plus intéressés par la question, …