Merci à Mme Bénin d'avoir déposé cet amendement. Parler des outre-mer dans une loi relative au sport, c'est essentiel. Je suis très fière que nous le fassions, car c'est rare. Avec l'autorisation des fédérations nationales de chaque discipline et sous bannière française, nous souhaitons permettre à ces fédérations, pour des questions de rapprochement géographique continental, de concourir de cette manière en proximité et en concurrence avec leurs proches concurrents. Notre volonté est de donner les moyens aux athlètes de haut niveau de s'entraîner, de concourir et de réussir près de chez eux, près de leurs familles, avec les moyens offerts par les fédérations et l'État français, de s'épanouir dans la pratique sportive sans devoir être déracinés. C'est ainsi que nous réussirons encore mieux ensemble.